Trouvons le temps de leur dire qu’ils sont tout pour ce monde
Jurons qu’ils sont pour nous tout ce qui compte
Faisons des sourires qui leur disent que la terre guérit
Lisons non le pire des histoires qui font qu’on en rit et qu’on vit
Refrain:
Il faudra chaque jour chanter qu’on les aime
Pour que même grand ils parlent en amour
Il faudra toujours chanter qu’on les aime
Qu’il leur en reste pour les mauvais jours
Il faudra chaque jour chanter qu’on les aime
Pour que même vieux ils rêvent en amour
Il faudra toujours chanter qu’on les aime
Toujours {x5}
Marchons pour que plus jamais un enfant ne parte à la guerre pour ces ainés
Luttons pour qu’aucun ne meurt de faim ni d’être mal aimé
Trouvons dans nos coeur des mots doux pour dire le chemin
Aura des demains et trouvons
Les couleurs qu’il faut pour refaire leur dessin du destin
Refrain
On va crier en coeur qu’on les aime
On va y perdre la voix et ça vaut la peine
Du nord au sud le refrain sera le même
Faisons don de nous
Faisons don de tout
Refrain
Gosto muito desta canção que tenho ouvido na MCM porque se realmente cantássemos às crianças que as amamos, o mundo viveria livre de neuroses e de falta de amor-próprio…
Je suis quelquefois pour ici pour penser comme la poésie est éternelle!
Je suis imaginer combien de poèmes ont été perdus, déchiré, a brûlé ou oublié.
Qu’il matières qui ont donné la vie de l’him
Qu’il matières qui l’ont déchirée: si elle revient toujours dans une chanson d’un poète qui l’a chantée.
C’est pour que les poètes sont heureux seulement quand dans la poésie ils sont encore rencontrés.
C’est pour que j’ai renoncé à d’âme et coeur à cela que plus aime: créer ou ressusciter les chansons qui m’embrassent l’âme – l’âme de poète.
C’est dans le mot et pour le mot, vers fait que je nourris.
C’est dans le mot, chanson fait, que nous faisons partie de cette projection universelle: faire la paix et distribuer l’amour – dans un baiser, dans une étreinte, dans une feuille en papier simple ou dans un morceau du journal.
La poésie est belle!
Rogério Simões
Merci, Rogério, c’est gentil de ta part d’écrire en français 🙂